Luisa prend part aux souffrances que l’Humanité de Jésus reçut de sa Divinité.
Pendant que j’étais dans mon état habituel, je me suis retrouvée hors de mon corps et j’ai vu un ancien confesseur décédé. La pensée suivante traversa mon esprit: «À propos de cette chose que tu n’as pas dite au confesseur, demande-lui si oui ou non tu es obligée de la dire et de l’écrire.» Je lui ai donc posé la question. Il me répondit: «Certainement, tu es obligée!»
Après, il ajouta: «Une fois, tu as fait une belle intercession pour moi. Si tu savais le bien que tu m’ as fait, le rafraîchissement que j’ai ressenti et les années que tu m’as enlevées!» Je lui dis: «Je ne me souviens pas. Rappelle-moi ce que c’était pour que je le refasse.» Il dit: «Tu t’es plongée dans la Divine Volonté et tu as pris sa puissance, l’immensité de son Amour, la valeur immense des souffrances du Fils de Dieu et toutes les qualités divines, et tu les as versés sur moi. Je fus alors plongé dans le bain d’Amour de l’Être Suprême, dans le bain de sa beauté, dans le bain du Sang de Jésus et dans le bain de toutes les qualités divines. Qui pourrait dire le bien qui s’ensuivit pour moi? Refais-le pour moi, refais-le pour moi!»